Le mardi 5 octobre 2021 à 11:31 - MAJ mercredi 6 octobre 2021 à 12:11
14h10. La prise d'otage
est terminée, l'auteur s'est rendu.
"Cette prise d’otage a concerné
deux surveillants qui ont pu être libérés volontairement pour le
premier vers midi et puis pour le deuxième après intervention du
RAID sur protocole de reddition. Il a accepté volontairement de se
rendre", a indiqué le
procureur de la République d'Alençon.
13h05. Le preneur d'otage se nomme Sofiane Rasmouk selon Le Parisien. Âgé de 33 ans, surnommé le "monstre de Colombes" et considéré comme un psychopathe par les experts, il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté de 22 ans en 2017, pour avoir violé et frappé une jeune femme en pleine rue à Colombes (Hauts-de-Seine), alors qu'il venait d'en agresser une autre très violemment, la rouant de coups de pied et de poing. Cette dernière avait survécu à ses graves blessures miraculeusement, mais reste handicapée à vie avec de très lourdes séquelles.
Sofiane Rasmouk avait déjà agressé deux surveillants pénitentiaires de la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy, en 2018.
12h40. Les policiers du RAID et les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS) sont arrivés sur place.
Les Eris comme le Raid se trouvent dans la cour du centre pénitentiaire. Des surveillants qui ne travaillent se sont, eux, regroupés spontanément à l’entrée #Alençon #prison #prisedotages pic.twitter.com/ChbwRddttW
— Sacha Martinez (@SachaMartinez42) October 5, 2021
12h20. L'un des deux otages, qui est une surveillante pénitentiaire et qui n'a pas été blessée, vient d'être libérée selon BFMTV.
11h25.Un homme condamné en 2017 à une peine de réclusion criminelle à perpétuité pour viol et tentative de meurtre d'après BFMTV, retient deux surveillants pénitentiaires en otage dans une cellule depuis 10h15, au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe. Il serait muni d'une arme blanche. L'un des fonctionnaires a été blessé à un œil indique le ministère de la Justice.
Le détenu, qui n'est pas considéré comme étant radicalisé, réclamerait une révision de sa peine à perpétuité d'après la chaîne d'informations.
Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS) de Rennes ont été envoyées sur place. Des négociations sont en cours et une cellule de crise a été ouverte.