
Il y avait peu de doute, mais les autorités russes ont reconnu officiellement que l’émanation de particules radioactives provenait bien de leur pays.
C’est l’agence météorologique russe « Rosguidromet » qui a reconnu les faits officiellement lundi 20 novembre : la fuite de particules radioactives qui a été détectée jusqu’en Europe provenait bien de la Russie. L’agence a précisé qu’une présence « relativement élevée » de ruthénium-106 avait été detectée dans le pays fin septembre, rapporte Sud-Ouest.
Sans conséquence pour la santé
L’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire français avait déclaré que les niveaux de concentration relevés en France étaient « sans conséquence tant pour la santé humaine que pour l’environnement »