Justice

L'accusé avait reconnu en fin de séance vendredi qu'il avait « volontairement » tué la fillette, après l’avoir « enlevée ».
Le défunt a été atteint par six balles et frappé à coups de batte de base-ball.
"J'ai donné volontairement la mort à Maëlys", a fini par admettre l'accusé en fin de séance.
L'accusé a assuré qu'il n'avait au départ "aucune mauvaise intention". Il a présenté de nouveau ses "excuses" à la famille de la fillette.
"On n'enlève pas une enfant pour aller voir des chiens", a appuyé l'ancien magistrat qui était en charge du dossier au moment de la disparition de la fillette, en août 2017.
Quatre étudiants avaient été tués, quatorze autres transportés à l'hôpital.
Pour la juge d’instruction, "sa préoccupation première était de garder la mainmise sur le patrimoine" de sa belle-mère.
Interrogé ce mardi par la cour d'assises de l'Isère, l'homme qui s'est marié le jour du drame a livré son témoignage saisissant.
L'avocat du policier a évoqué une "technique d'intervention des plus classiques" pour justifier son action. Ce dernier va faire appel de cette décision de justice.
Les parents de la petite Maëlys De Araujo, ainsi que sa sœur, ont pris la parole lors de l'audience ce lundi, devant la cour d'assises de l'Isère.
L'ancien ministre de l'Intérieur va être remis en liberté ce mercredi annonce son avocat. Il va bénéficier d'une libération conditionnelle, sous bracelet électronique.
L'ancien maire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) va être à nouveau incarcéré ce lundi a annoncé la procureure de la République d’Évreux.
La victime a été rouée de coups et sauvagement agressée par une vingtaine d'individus sur un point de deal. Les agresseurs pensaient que cet homme collaborait avec la police.
Lors de l'audience ce vendredi, l'accusé, Nordahl Lelandais, a de nouveau assuré qu'il n'avait pas agressé sexuellement la petite Maëlys. Il a également été interrogé sur les faits d'attouchements commis...
Son ADN avait été retrouvé sur l'élastique d'une lampe frontale abandonnée par les cambrioleurs.