Le vendredi 25 septembre 2020 à 12:20 - MAJ vendredi 25 septembre 2020 à 22:52
Fin de notre direct. Merci de nous avoir suivis. Retrouvez l'ensemble des informations concernant cette attaque ci-dessous et recevez nos alertes en direct avec l’appli Actu17 pour smartphone.
20h27. Cinq nouvelles personnes nées entre 1983 et 1996
ont été placées en garde à vue ce vendredi
soir.Il s'agit des
colocataires du suspect principal, Ali H., qui ont été interpellés
à Pantin (Seine-Saint-Denis) lors de la perquisition du domicile de
ce dernier. Au total, sept individus sont actuellement en garde à
vue dans le cadre de cette enquête ouverte par le parquet national
antiterroriste (PNAT).
20h18. "Manifestement c'est un acte de terrorisme islamiste. C'est une nouvelle attaque sanglante contre notre pays, contre des journalistes", a déclaré ce vendredi soir le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur le plateau de France 2. "Il y a une enquête ouverte, il ne m'appartient pas de la commenter. Aujourd'hui les choses semblent bien avancer pour confondre cet auteur. Il n'était pas fiché S, il n'était pas connu pour radicalisation. Il a été interpellé pour port d'arme, d'un tournevis à priori mais il était encore mineur. Il a eu un rappel à l'ordre", a-t-il ajouté.
"On a le droit d'être choqué par des caricatures. J'ai parfois été choqué par des caricatures de Charlie Hebdo, des catholiques ont pu être choqués. Mais on a le droit de choquer en France, donc oui, je soutiens Charlie Hebdo", a insisté le ministre.
18h56. Le parquet de Paris annonce dans un communiqué l'ouverture d'une enquête du chef de violation du secret de l'enquête après la diffusion de photos en lien avec l'enquête. Des photos de l'un des suspects ont été diffusées sur les réseaux sociaux peu après son interpellation.
17h36. Dans une note transmise aux préfets, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin demande de "faire preuve d'une vigilance accrue tout particulièrement dans les lieux rassemblant ou ouverts au public afin de prévenir tout acte qui pourrait être commis par mimétisme".
17h21.L'homme présenté comme "l'auteur principal" par le procureur de la République a reconnu les faits selon BFMTV. Ses motivations restent encore inconnues à ce stade.
16h29. Des perquisitions sont en cours chez le principal suspect, dans le Val-de-Marne.
16h15. Sur Twitter, Charlie Hebdo apporte son soutien aux victimes. "Toute l'équipe de Charlie apporte son soutien et sa solidarité à ses anciens voisins et confrères @PLTVfilms et aux personnes touchées par cette odieuse attaque".
Toute l'équipe de Charlie apporte son soutien et sa solidarité à ses anciens voisins et confrères @PLTVfilms et aux personnes touchées par cette odieuse attaque.
— Charlie Hebdo (@Charlie_Hebdo_) September 25, 2020
15h25. Selon Luc Hermann, journalistes à "Premières Lignes" interrogé par BFMTV, ses deux collègues ont été attaqués "au hasard (...) par un seul et même homme" car ils se trouvaient devant l'ancien bâtiment de Charlie Hebdo. "Ils ont été attaqués par surprise lors d'une pause cigarette ce matin, dans la rue", a-t-il détaillé.
Luc Hermann (Premières Lignes): "Nos deux collaborateurs ont été attaqués par un seul et même homme" pic.twitter.com/l9Dbro8mLH
— BFMTV (@BFMTV) September 25, 2020
15h20. L'auteur principal de l'attaque affirme être âgé de 18 ans et né au Pakistan. Il serait inconnu des services de renseignement mais connu des services de police pour des faits de droit commun. Le second suspect est né en 1987.
15h12. "L'auteur principal a été
arrêté" confirme le procureur de la République de Paris,
ajoutant qu'un second individu est lui aussi en garde à vue. Le
Premier ministre Jean Castex a également indiqué que le pronostic
vital des deux victimes n'était pas engagé.
15h04. La section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris et la DGSI ont été chargées des investigations.
14h26. Le 11 septembre dernier, l’organisation terroriste Al-Qaïda avait de nouveau menacé l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo, qui avait, le 1er septembre, republié les caricatures du prophète Mahomet. Ces mêmes dessins avaient fait de l’hebdomadaire satirique, la cible des terroristes en 2015. L’attaque qui a fait 12 morts et 11 blessés, « n’était pas un incident ponctuel » avait prévenu l’organisation terroriste dans sa lettre diffusée sur les réseaux sociaux.
L'attaque ce vendredi s'est produite alors que le procès historique des attentats de janvier 2015 se tient actuellement à Paris sous haute surveillance, et doit s’achever le 10 novembre.
14h12. Les deux suspects interpellés ont été placés en garde à vue.
14h10. Le Premier ministre Jean Castex et le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se rendent sur les lieux de l'attaque.
13h54. Un second suspect a été interpellé à proximité du métro Richard Lenoir (XIe) selon nos informations.
13h50. Le parquet national antiterroriste (PNAT) se saisit du dossier et ouvre une enquête pour tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste criminelle.
13h40. Le parquet de Paris annonce l'ouverture d'une enquête pour "tentative d'assassinat".
13h32. Le SAMU annonce avoir ouvert sa cellule de crise opérationnelle.
13h09. Le bilan des victimes revu à la baisse : il y aurait deux blessés graves et non quatre. Les deux victimes - un homme et une femme - travaillent pour l'agence de presse "Premières lignes". Elles étaient dans la rue en train de fumer une cigarette lorsqu'elles ont été attaquées. Ces dernières ont été conduites à l'hôpital et ne sont plus en état d'urgence absolue.
12h54. Les policiers ont retrouvé une feuille de boucher au sol, sur les lieux de l'attaque.
12h45. Un suspect qui
avait de nombreuses traces de sang sur ses vêtements a été
interpellé à proximité de la Bastille.
12h40. Les policiers de la BRI de la préfecture de police et ceux du Groupe de soutien opérationnel (GSO) ce la Compagnie de sécurisation et d'intervention (CSI) parisienne sont engagés sur l'opération de recherches du ou des auteurs. Il y aurait un ou deux auteurs en fuite.
La préfecture de police de Paris a annoncé que la BRI a été mobilisée. #attaque_paris pic.twitter.com/uzsh4N3e96
— Cerise Locard (@CeriseLocard) September 25, 2020
12h37. Le Premier ministre
Jean Castex évoque "une attaque par arme blanche",
"devant l'ancien siège de Charlie Hebdo". Le chef du
gouvernement a donné un bilan de quatre blessés dont deux graves.
Il se rend à la cellule de crise ouverte au ministère de
l’Intérieur
12h34. Deux des quatre blessés sont grièvement blessés, ils sont en état d'urgence absolue.
🛑🛑 Très gros dispositif policier déployé dans le 11eme. Attaque à l’arme blanche non loin des locaux de Charlie Hebdo. A suivre pic.twitter.com/CMO4pN1jRV
— Sami Sfaxi (@Sfaxi_Sami) September 25, 2020
12h33. Toutes les écoles, les crèches et les résidences pour personnes âgées du XIe arrondissement sont confinées comme la procédure l'exige.
12h30. "Un individu potentiellement dangereux est actuellement recherché par la police, soyez prudent et éviter le secteur Richard Lenoir", prévient le Premier adjoint au maire de Paris Emmanuel Gregoire, sur Twitter.
Un individu potentiellement dangereux est actuellement recherché par la police, soyez prudent et éviter le secteur Richard Lenoir https://t.co/BPDRmRaICs
— Emmanuel GREGOIRE (@egregoire) September 25, 2020
12h10.Une agression à l'arme blanche s'est produite sur et autour du boulevard Richard Lenoir à Paris ce vendredi matin vers 11h40. Un homme armé d'une machette selon des sources policières, a attaqué plusieurs personnes en pleine rue à proximité du bâtiment où se trouvait la rédaction de Charlie Hebdo au moment des attentats de janvier 2015.
Un premier bilan fait état de quatre blessés. L'un se trouvait au 8 allée Verte. Le ou les auteurs de l'attaque sont en fuite. La police et les secours sont sur place.