Paris : Bayou, le chien volé il y a près de deux mois, a retrouvé son maître

Nicolas a enfin retrouvé son chien, Bayou, volé à Paris, après plus d'un mois et demi de recherches intensives et l'aide précieuse d'associations et d'anonymes. Les émouvantes retrouvailles ont eu lieu suite à l'interpellation du voleur, ce mercredi, dans le Val-d'Oise.
Paris : Bayou, le chien volé il y a près de deux mois, a retrouvé son maître
Nicolas Lequen a retrouvé son chien, Bayou, ce mercredi. (Instagram)
Par Actu17
Le jeudi 13 avril 2023 à 15:40

C'est une belle histoire. Après plus d'un mois et demi de recherches intensives, Nicolas Lequen a finalement retrouvé son chien créole de six ans, Bayou, volé le 21 février dernier à Montmartre, raconte Le Parisien. Depuis ce triste événement, Nicolas a collé plus de 2000 avis de recherche à travers Paris, aidé par des associations et de nombreux anonymes qui ont partagé l'information sur les réseaux sociaux.

"Je suis heureux et submergé par l'émotion. C'est un cauchemar qui a duré cinquante jours. Désormais, nous ferons tout pour apporter notre aide à la cause des chiens volés", assure Nicolas Lequen, au quotidien francilien, se montrant reconnaissant envers ceux qui l'ont soutenu dans sa quête.

Tout s'est joué de peu. Mercredi matin, un premier signalement de Bayou a été reçu à Gare du Nord (Xe). Wissam, ami du propriétaire, s'est rendu sur place en scooter. Pendant ce temps, une femme les a contactés pour leur signaler que Bayou était sur la ligne H en direction de Sarcelles (Val-d'Oise). Wissam et Nicolas se sont précipités sur place, aidés par un membre de l'association "Les Poilus de la Butte".

 

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Puis, vers 14 heures, la police du Val-d'Oise a reçu un appel d'un homme à Sarcelles qui disait être face au ravisseur de Bayou, alors que le chien était tenu en laisse. Un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) s'est rendu immédiatement sur place et a interpellé le suspect, qui a été placé en garde à vue. L'homme avait déjà été repéré sur des caméras de vidéoprotection quelques semaines plus tôt. Il encourt jusqu'à trois ans de prison et 45 000 euros d'amende.