Région Bourgogne-Franche-Comté
L'agresseur a violemment frappé ce policier au visage alors qu'il allait être interpellé. Il venait récupérer un scooter dissimulé dans un parc, qui avait été volé avec violences et sous la menace d'une...
Besançon : Un bébé gravement brûlé par un mortier d'artifice qui a atterri dans la voiture familiale
La fusée d'artifice a pénétré dans la voiture de cette famille par la fenêtre côté conducteur qui était entrouverte, puis a explosé dans le cosy du bébé, qui a été gravement brûlé.
Le parquet de Vesoul a ouvert une enquête du chef de "tentative d'assassinat".
Besançon : Quatre militaires en civil se font tirer dessus en sortant d'une boite de nuit, un blessé
Le tireur a pris la fuite et ses motivations restent inconnues. Un militaire a été légèrement blessé à un bras.
"On veut que vous fassiez vivre notre fille au travers de vos cœurs tous les jours", a exhorté la mère d'Emma, aux participants de cette marche blanche.
Le suspect récidiviste était sorti de prison sous bracelet électronique en janvier dernier. Il est retourné en prison à l'issue de son jugement.
La victime a été poignardée à de multiples reprises, au niveau "du torse, des épaules, du visage et du cou". Placé en garde à vue, son petit ami est passé aux aveux.
La petite fille avait disparu ce mercredi soir. Elle a été retrouvée sans vie à Clessé, village où elle vivait, ce jeudi matin. Son petit ami de 14 ans a été placé en garde à vue.
Les hommes du GIGN ont interpellé le forcené en début d'après-midi ce vendredi. Il était jusqu'ici inconnu de la justice. Ses motivations restent à déterminer.
Les deux motards de la police ont réussi à l'interpeller, ainsi que sa passagère de 14 ans.
Saône-et-Loire : L'homme accusé d'avoir tué sa compagne, sa fillette et sa secrétaire, retrouvé mort
Le suspect se serait suicidé en se jetant d'un pont haut d'environ 150 mètres, en Haute-Savoie. Ses motivations restent indéterminées.
L'une des victimes a été tuée à l'arme blanche sur un parking de Saint-Rémy (Saône-et-Loire).
Il a écopé ce mardi d'une peine de 28 ans de réclusion criminelle.
"Je ne suis pas l’assassin de Narumi", a répété Nicolas Zepeda avant l'énoncé du verdict.