Région Bourgogne-Franche-Comté

Taeko Kurosaki, la mère de Narumi, s'est exprimée durant plus de trois heures face à la cour d'assises du Doubs, où est jugé Nicolas Zepeda, accusé de l'assassinat de sa fille. Elle a longuement exprimé...
L'accusé de 31 ans continue à nier les faits malgré des éléments le mettant en cause. "Je pense qu’il faudrait continuer des recherches pour savoir ce qu’il s’est passé", a-t-il notamment lâché.
Une étudiante affirme avoir entendu des hurlements vers 3 heures, la nuit de l'assassinat supposé de Narumi Kurosaki, à Besançon (Doubs). "Ces cris n'étaient pas normaux, c'était effrayant", se souvient-elle.
Pour le quatrième jour du procès devant la cour d'assises du Doubs, un enquêteur a pris la parole et expliqué que Nicolas Zepeda avait été identifié grâce son adresse IP, alors qu'il se connectait aux...
L'accusé nie avoir tué son ex-petite amie Narumi Kurosaki, mais également d'avoir envoyé des messages avec le téléphone de la victime après sa mort.
Le Chilien Nicolas Zepeda est jugé depuis mardi devant la cour d'assises du Doubs pour l'assassinat de son ex-petite amie japonaise, Narumi Kurosaki, dont le corps n'a jamais été retrouvé.
"J’ai Narumi dans mes pensées depuis cinq ans et je ressens le chagrin immense de sa famille", a déclaré l'accusé au premier jour de son procès. Le corps de la victime n'a jamais été retrouvé.
Son procès débute ce mardi devant la cour d'assises du Doubs. L'accusé, le Chilien Nicolas Zepeda, nie avoir tué son ex-petite amie japonaise, Narumi Kurosaki, disparue depuis décembre 2016.
L'enfant aurait été violemment frappé à plusieurs reprises.
La victime a été poignardée à deux reprises au niveau de flanc, elle a été évacuée dans un état grave à l'hôpital.
Les tueurs sont arrivés sur un deux-roues et ont rapidement pris la fuite.
Ce père de trois enfants a également été soumis à une obligation de soins et a reçu l'interdiction d’exercer une activité en lien avec des mineurs.
L'agent souffre notamment d'une fracture à un poignet. L'adolescent âgé de 15 ans a été placé en garde à vue.
Pour sa défense, le prévenu a évoqué un traumatisme qui remonte au dossier Pierre Bodein sur lequel il a travaillé. Ce tueur en série a été condamné à la perpétuité en 2007.