Interpellé dans le Var ce mardi, le policier accusé du meurtre de sa compagne fin janvier, a été transféré à Paris dans les locaux du 2ème district de police judiciaire (DPJ), pour être interrogé.
                
                    Enquêtes
                    Il s'est présenté à la gendarmerie de Montmeyan, dans le Var, et a été placé en garde à vue.
                
                    
                    La victime de 25 ans a été touchée "en partie haute du corps", elle est décédée sur place malgré les premiers secours prodigués "par l'homme avec lequel elle se promenait".
                
                    
                    Il affirme "avoir agi par jalousie" lorsqu’il a "compris que la victime fréquentait un autre homme".
                
                    
                    "L’intéressé est susceptible de se déplacer sur l’ensemble du territoire national", rappellent les enquêteurs.
                
                    
                    Il nie les faits et menace de se suicider. 
                
                    
                    "Si je pouvais donner ma vie pour éviter que tout ça se soit passé, je n’hésiterais pas une seconde", a-t-il confié.
                
                    
                    Elle a reconnu qu'elle avait "étouffé" ses deux enfants de 9 mois et 2 ans et demi.
                
                    
                    Son arme et ses munitions se trouvaient dans sa voiture retrouvée à Amiens (Somme), ce samedi.
                
                    
                    "Il y a des gardes à vue régulières dans ce dossier, afin de fermer les portes les unes après les autres" a assuré la magistrate.
                
                    
                    Elle a également affirmé qu'elle voulait "mettre fin à ses jours".
                
                    
                    Le suspect est toujours activement recherché.
                
                    
                    Le préfet de police de Paris a demandé la suspension à titre conservatoire du policier. Gérald Darmanin estime qu'il n'a « plus sa place » dans la police. 
                
                    
                    Les enquêteurs ne peuvent toujours pas accéder aux lieux du sinistre.
                
                    
                    Sept personnes ont été tuées, dont deux enfants en bas âge. "Il n'y a plus aucun espoir" de retrouver des survivants ont indiqué les pompiers.
                
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