Région Drom-Com
Les policiers sont intervenus pour un homme menaçant armé d'un couteau, qui a refusé de lâcher son arme. Il aurait foncé sur les fonctionnaires. L'un a ouvert le feu, blessant le suspect mortellement.
Les gendarmes ont d'abord tenté de neutraliser l'agresseur avec un pistolet à impulsion électrique, en vain. Ils ont ouvert le feu, blessant mortellement cet homme.
Une vaste opération s'est déroulée durant près de sept semaines en Guyane. Des centaines de militaires, dont des gendarmes, ont mis en fuite de nombreux chercheurs d'or clandestins hors du territoire.
Les trois victimes grièvement blessées ont leur pronostic vital engagé. Selon les premiers éléments, il s'agit d'un règlement de compte a indiqué la gendarmerie.
Neuf suspects ont été interpellés à Strasbourg (Bas-Rhin), cinq autres en Guadeloupe. L'enquête a été menée par les policiers de l'Office anti-stupéfiants (OFAST) et avait débuté début 2021.
19 de ces 22 homicides ont été commis par arme à feu a souligné le parquet.
L'un des policiers a ouvert le feu alors que le suspect, qui venait de se poignarder au niveau du ventre, attaquait les fonctionnaires.
Ces cinq personnes sont soupçonnées d'avoir "participé aux réunions préparatoires" de ces émeutes "extrêmement" violentes, durant lesquelles les policiers avaient essuyé des tirs notamment.
Il a été hospitalisé sans que ses jours ne soient en danger.
La pluie a été particulièrement intense dans la nuit de vendredi à samedi en Guadeloupe, dépassant les précipitations du cyclone Maria en 2017.
La victime a reçu de violents coups à la tête. Ses jours ne sont plus en danger.
La victime avait 14 ans au moment des faits et était enfant de chœur. Sa mère a révélé qu'elle avait été agressée sexuellement.
Le défunt était connu des services de police "pour des affaires de stupéfiants".
"Au cours des deux premières semaines de février, il y a eu trois homicides" assure une source proche du dossier.