Région Hauts-de-France

Le défunt n'avait pas encore été identifié à la mi-journée ce mercredi et les circonstances de sa mort restent mystérieuses. Son appartement était en désordre.
Le prévenu, déjà connu de la justice, a néanmoins été condamné pour conduite sous l'emprise de la drogue et a fait l'objet d'un maintien en détention.
L'homme a été placé en garde à vue. Il a déjà été condamné à une vingtaine de reprises par le passé. Cette fois, il a écopé d'une peine de 18 mois de prison ferme.
Le suspect qui a gardé le silence durant sa garde à vue, a été placé en détention provisoire.
L'agresseur, qui est ressortissant étranger, venait de se voir refuser une chambre dans un hôtel, n'ayant pas de pièce d'identité. Deux gendarmes ont été blessés en le maîtrisant et l'interpellant.
La victime se trouvait dans une voiture. Les auteurs ont pris la fuite et la police judiciaire a été chargée de l'enquête.
L'un travaillait au centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes, le second au commissariat de Hazebrouck (Nord).
Il est notamment accusé d'avoir informé des trafiquants de drogue avec des informations venant des fichiers "police". Le fonctionnaire a également été placé sous contrôle judiciaire.
Les trois victimes ont été retrouvées sans vie dans un appartement d'Amiens (Somme) le 15 avril dernier. Le meurtrier présumé qui est aussi le père de l'enfant de 3 ans, aurait tenté de se suicider après...
Un bidon d'essence et une boule de papiers froissées ont été découverts sur place.
La victime pourrait être tombée du toit de l'école en voulant lancer des colis dans la prison située juste à côté. Une enquête a été ouverte.
Des couteaux "portant possiblement des traces de sang" ont été découverts.
L'homme a été interpellé dans la région lyonnais 72 heures après les faits. Il avait déjà été condamné pour un viol, en 2012.
Les auteurs ont insulté les partisans du PCF, en leur reprochant d'avoir présenté un candidat face à celui de La France Insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon.