Région Occitanie
Les policiers ont été frappés. Le chauffard et ses deux passagers, ivres, ont été maîtrisés et placés en garde à vue.
La prévenue a été hospitalisée après s'être effondrée en larmes durant les débats, jeudi dernier.
La victime devait être opérée à l'hôpital ce lundi matin.
Un Boeing 737 a fait une sortie de piste lors de son atterrissage dans la nuit de vendredi à samedi, à Montpellier (Hérault), sans faire de blessé.
"Les juges se sont perdus dans les hypothèses" affirme l'un des avocats du suspect.
Elle a été évacuée par les pompiers.
Le corps se trouvait dans un endroit difficile d'accès. Une autopsie va être pratiquée et une enquête a été ouverte.
"Tout était levé, tout était éteint, il n'y avait pas de signal sonore, j'ai engagé le bus", a affirmé la prévenue à la barre ce lundi, à l'ouverture du procès.
Six enfants avaient été tués, dix-sept autres blessés. La conductrice du car scolaire est soupçonnée d'avoir franchi la demi-barrière fermée d'un passage à niveau. Son procès s'ouvre ce lundi.
La deuxième victime est dans un état grave à l'hôpital. Un suspect a été interpellé ce jeudi après-midi.
Quatre des victimes ont été évacuées à l'hôpital en état d'urgence absolue. Le chauffard de 32 ans qui était ivre a été placé en garde à vue.
Quatre personnes ont été tuées lors de ces attentats, dont le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame. Quinze autres ont été blessées.
La victime a été conduite à l'hôpital. Son ex-compagnon, actuellement sous contrôle judiciaire, est soupçonné d'être l'auteur des faits.
Une mère de famille a déposé plainte, ainsi que Le Conseil de l'Ordre des médecins de l'Hérault.