Justice

"Je ne suis pas l’assassin de Narumi", a répété Nicolas Zepeda avant l'énoncé du verdict.
L'accusé a continué à nier les faits tout au long de son procès. Le corps de la victime qui était aussi son ex-petite amie, Narumi Kurosaki, n'a jamais été retrouvé.
Cet homme de 25 ans a été mis en examen pour trafic de stupéfiants et placé sous mandat de dépôt. Mais son avocat a contesté cette décision et a obtenu gain de cause.
Les deux prévenus ont écopé d'une peine de dix ans de réclusion criminelle par le tribunal pour enfants de Pontoise (Val-d'Oise). Un nouveau procès va avoir lieu.
Ils ont également été condamnés à verser 180 000 euros de dommages et intérêts à la famille de la jeune fille, morte noyée après avoir été frappée et jetée dans la Seine.
"Il y a beaucoup de choses qu'on peut me reprocher, je ne suis pas une personne parfaite, mais je n'ai pas tué Narumi", a insisté l'accusé ce jeudi.
Cette femme de 42 ans qui réside au Canada accuse deux policiers de l'avoir violée le 22 avril 2014, au cours d'une soirée. Les deux fonctionnaires ont été condamnés en première instance.
Mickaël Luhaka a été condamné à quatre ans de prison dont deux avec sursis. Son frère Théo a écopé d'une peine de d'un an de prison avec sursis.
Taeko Kurosaki, la mère de Narumi, s'est exprimée durant plus de trois heures face à la cour d'assises du Doubs, où est jugé Nicolas Zepeda, accusé de l'assassinat de sa fille. Elle a longuement exprimé...
L'homme a écopé d'une peine de 18 mois de prison avec sursis.
L'accusé de 31 ans continue à nier les faits malgré des éléments le mettant en cause. "Je pense qu’il faudrait continuer des recherches pour savoir ce qu’il s’est passé", a-t-il notamment lâché.
La plaignante, qui réside au Canada, dénonce un viol en réunion qui se serait produit dans la nuit du 22 avril 2014 dans les locaux de la police judiciaire, situés à l'époque au 36 quai des Orfèvres à...
Il a été néanmoins été condamné à une peine de deux ans de prison pour le vol d'une liasse de billets, une peine déjà purgée.
Olivier A. avait déposé une plainte, accusant son oncle Gérard Louvin d'avoir "favorisé" des viols incestueux commis sur lui par le mari du producteur, Daniel Moyne, dans les années 1980.
322 victimes se sont constituées parties-civiles dans ce dossier. Les deux prévenus sont accusés de s'être enrichis sur le dos de l'Assurance maladie en réalisant un maximum de prothèses dentaires sur...