Justice

Une étudiante affirme avoir entendu des hurlements vers 3 heures, la nuit de l'assassinat supposé de Narumi Kurosaki, à Besançon (Doubs). "Ces cris n'étaient pas normaux, c'était effrayant", se souvient-elle.
Catherine Burgod, 41 ans, a été lardée de 28 coups de couteau. L'accusé, Mamadou Diallo, nie les faits.
La jeune fille a été frappée puis jetée dans la Seine à Argenteuil (Val-d'Oise) où elle s'est noyée. Elle était victime de harcèlement depuis des mois.
Condamné à 25 ans de réclusion criminelle en première instance, Julien Masson a continué à nier la plupart des coups portés à l'enfant lors de ce nouveau procès.
"L'objectif est simple et clair : faire rentrer la justice dans le salon des Français", a expliqué le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti.
Pour le quatrième jour du procès devant la cour d'assises du Doubs, un enquêteur a pris la parole et expliqué que Nicolas Zepeda avait été identifié grâce son adresse IP, alors qu'il se connectait aux...
L'accusé nie avoir tué son ex-petite amie Narumi Kurosaki, mais également d'avoir envoyé des messages avec le téléphone de la victime après sa mort.
Le Chilien Nicolas Zepeda est jugé depuis mardi devant la cour d'assises du Doubs pour l'assassinat de son ex-petite amie japonaise, Narumi Kurosaki, dont le corps n'a jamais été retrouvé.
L'explosion liée à une fuite de gaz a fait quatre morts, dont deux pompiers, et 66 blessés.
Les experts psychiatres ont diagnostiqué une schizophrénie avec "comportement imprévisible et dangereux" chez le mis en cause.
"J’ai Narumi dans mes pensées depuis cinq ans et je ressens le chagrin immense de sa famille", a déclaré l'accusé au premier jour de son procès. Le corps de la victime n'a jamais été retrouvé.
"Il est le responsable d'un accident gravissime, il n'est pas meurtrier" a appuyé le procureur de la République lors de son réquisitoire.
El Shafee el-Sheikh faisait partie du groupe de jihadistes surnommés "Les Beatles", pour leur accent britannique. Ils ont enlevé et décapité de nombreux otages occidentaux.
"L'homme au chapeau", Mohamed Abrini, a toujours assuré qu'il était uniquement venu accompagner ses amis - les terroristes -, ajoutant qu'il était lui aussi "prévu pour le 13-Novembre".
Au premier jour de son procès, Mathieu Saurel a fondu en larmes puis a reconnu une "possible" erreur de sa part qui a conduit à la mort de six adolescents qui se trouvaient dans le car qu'il a croisé,...